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Nos autorités sanitaires cantonales interdisent dorénavant à tout médecin d’émettre un avis qui pourrait entretenir le doute sur la vaccination contre le Covid, sous peine de sanctions (CHF 20'000.- d’amende, voire retrait du droit de pratique).

Nous, collectif de médecins, prenons acte avec inquiétude mais restons fidèles à notre but, fournir une information critique, nuancée et indépendante à propos des vaccins.

Nous constatons cependant avec regret que depuis le début de la pandémie, toute critique ou mise en doute scientifique de la stratégie vaccinale soit systématiquement cataloguée comme complotisme, voire censurée.

Or nous rappelons que :

  • La loi suisse ne comprend à ce jour aucune obligation vaccinale. Pourtant la vaccination est rendue pratiquement incontournable par l’imposition du « pass sanitaire ».
  • Il peut paraître imprudent de vacciner l’ensemble d’une population avec un produit nouveau qui est encore en phase 3 d’essai clinique (phase dont l’objectif est de mesurer son efficacité et sa sécurité).
  • Les hospitalisés des soins intensifs sont aujourd'hui certes majoritairement des non-vaccinés mais on ne sait rien de leurs pathologies concomitantes (ne serait-ce que le tabagisme).
  • Le nombre quotidien de nouveaux « cas positifs » ne correspond pas à une explosion des cas de maladie mais à une multiplication de tests effectués chez des personnes en bonne santé. Par ailleurs l’encombrement des soins intensifs annoncé n’est pas confirmée selon les informations dont nous disposons (début septembre 2021).
  • Que la propagande en faveur de la vaccination passe sous silence que du 1er janvier au 3 septembre 2021, Swissmedic a enregistré 6'603 cas d'effets indésirables dont 32,7% (2'161 cas) considérés comme graves.

137 personnes vaccinées sont décédées après un laps de temps relativement court. "Malgré la concordance temporelle, rien n’indique concrètement que le vaccin est à l’origine du décès." précise Swissmedic.

  • Que chez les enfants et les adolescents la maladie est bénigne, ne justifiant pas une vaccination dont les risques dépassent ceux de la maladie.
  • Il est certain qu'en l'absence de situation pandémique, la vaccination aurait été stoppée depuis longtemps.

Force est de constater que nous sommes entrés dans une période où nos libertés fondamentales, et en particulier notre liberté d’expression, sont sévèrement réprimées. En politique, cela s’appelle une dictature ; en sciences, une position dogmatique.

Nous ne doutons pas que vous parviendrez tout de même à vous forger une opinion libre et éclairée.