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La maladie

La grippe est une maladie virale survenant pério­diquement entre décembre et mars. Ne tombent malades que les personnes dont le système immu­nitaire est vulnérable au virus. L’affection débute brusquement avec de la fièvre accompagnée de douleurs musculaires et de maux de tête, elle dure quelques jours. La guérison est rapide, mais des complications sont possibles et parfois fatales chez les malades chroniques.

La plupart des refroidissements sont dus à d’autres virus que celui de la grippe.

L’épidémie mondiale de grippe en 1918 avait une mortalité exceptionnelle de 30 %. Plusieurs observations de médecins américains portant sur des milliers de cas traités par homéopathie affir­ment que la mortalité n’était que de 1 %.

 

Le vaccin

Noms de marque : Fluarix®, Influvac®, Mutagrip®, Agrippal®, Immugrip®, Previgrip®, Vaxigrip®, Optaflu®, Fluad®, Fluarix®, Fluenz® (usage nasal).

En raison de mutations permanentes du virus, le vaccin affiche chaque année une composition nou­velle, formée des trois différentes souches de virus qui ont la plus grande probabilité d’apparaître l’hiver suivant. Le vaccin développe son effet environ deux à trois semaines après l’injection. La protection conférée durerait de quelques mois à un an. Il est contre-indiqué chez les personnes allergiques aux oeufs de poule. La prudence est de mise en cas de grossesse, ainsi que chez les jeunes enfants.

Dans la plupart des pays occidentaux, la vacci­nation annuelle est recommandée pour tous dès 60 ou 65 ans, elle est proposée en outre à ceux qui sont en contact avec des personnes âgées ou avec des malades chroniques. Depuis quelques années, cer­tains spécialistes recommandent la vaccination sys­tématique des petits enfants, dans le dessein de prévenir la contamination des grands-parents. Ce qui se fait aux USA, champions toutes catégories des contraintes vaccinales.

Ce que l’on ne vous dit en général pas

Outre des impuretés, le mercure est progressive­ment retiré des vaccins, mais les dérivés de l’alumi­nium sont présents dans deux des vaccins (voir chapitre « Composition des vaccins », page 20) et des traces d’antibiotique. Comme le vaccin est répété chaque année, ces produits s’accumulent dans l’organisme.

Ce vaccin est connu pour provoquer des compli­cations neurologiques graves. Mais dans la publicité en faveur de la vaccination, elles sont minimisées et, dans la pratique, rarement déclarées.

La fréquence élevée des mutations du virus peut entraîner l’inefficacité du vaccin, ce qui serait le cas s’il survenait une nouvelle épidémie généralisée.

Enfin, le risque hypothétique d’une épidémie humaine de grippe aviaire ne justifie en rien une campagne généralisée par le vaccin dont il est ques­tion ici.

Conclusions concernant

Le nombre de refroidissements dus au virus de la grippe est inconnu, tout comme le nombre de grippes évitées grâce au vaccin. Sachant de surcroît qu’il protège mal les personnes âgées à qui il est destiné en priorité, ce vaccin devient un non-sens.

De plus, les campagnes en faveur du vaccin minimisent d’autres façons de se prémunir de la grippe, jugées non scientifiques, ne serait-ce que la vitamine C, l’échinacée, les oligoéléments, l’homéopathie.

Référence : Qui aime bien, vaccine peu ! - Edition 2018